La statistique devient important!
Dans le monde de la psychométrie, il n'y a pas de testing psychologique sans les notions de la statistique. Les deux branches ne sont pas indépendantes et doivent travailler ensemble pour bien faire les diagnostic et les évaluations nécessaires. Deux personnages sont nécessaires et importants dans le développement de le liaison qui existe entre la statistique et la psychométrie: Karl Pearson et Charles Spearman.
Karl Pearson (1857-1936) est un mathématicien qui est intéressé dans le concept de la corrélation de Galton. Galton décrit comment produire le système de points, mais n'a pas été capable de développer la formule mathématique qui sera utile pour trouver les liens entres les deux variables analysées. Pearson, lui, a été capable de créer la formule pour représenter la puissance de la relation entre les deux variables. La formule développé donne le coefficient de corrélation, qui est identifié comme «r» en statistique. Visionner les deux courts vidéos suivants pour avoir des explications supplémentaires sur le concept de la corrélation et pour la formule du coefficient de corrélation.
Karl Pearson (1857-1936) est un mathématicien qui est intéressé dans le concept de la corrélation de Galton. Galton décrit comment produire le système de points, mais n'a pas été capable de développer la formule mathématique qui sera utile pour trouver les liens entres les deux variables analysées. Pearson, lui, a été capable de créer la formule pour représenter la puissance de la relation entre les deux variables. La formule développé donne le coefficient de corrélation, qui est identifié comme «r» en statistique. Visionner les deux courts vidéos suivants pour avoir des explications supplémentaires sur le concept de la corrélation et pour la formule du coefficient de corrélation.
Le deuxième personnage important est Charles Spearman (1863-1945). Il travaille dans l'armée anglaise jusqu'à l'âge de 34 ans et ensuite, il entreprend une carrière en psychologie avec William Wundt en Allemagne. Il interrompt ses études pour servir dans l'armée encore une fois, mais dans la guerre des Boers (1899-1902). C'est à cette époque qu'il commence à faire la lecture sur Galton. Il devient très passionné par le sujet de corrélation qu'il réalisa quelques expériences avec des élèves des écoles de village et les résultats confirment celui de Galton. Il publie un article en 1904, et en raison de cette article, il obtient un poste à l'Université de Londres.
Afin d'examiner plus en profondeur la nature de l'intelligence, il pose les bases de l'analyse factorielle : «une technique statistique complexe fondée sur la corrélation. Elle consiste à mesurer d'abord divers aspects d'un individu ou d'un groupe d'individus, puis à corréler toutes les mesures entre elles pour déterminer lesquelles varient conjointement de façon systématique. On suppose que les valeurs qui varient en fonction l'une de l'autre mesurent la même chose. La dernière étape consiste à examiner la matrice des corrélations afin de déterminer quelles mesures varient conjointement et combien de facteurs (ou influences il faut présupposer pour rendre compte des corrélations observées. » (Hergenhahn, 302).
Pour Spearman, l'intelligence est postulée par deux facteurs:
1- les individus se distinguent par leurs capacités, qui sont des facteurs spécifiques (s en statistique)
2- Les mesures de ces facteurs tendent à être corrélées, donc l'intelligence déterminée exclusivement par l'hérédité détermine l'intelligence générale (g en statistique)
Ainsi, il élabore une théorie bifactorielle de l'intelligence: le facteur s décrit les habiletés spécifiques et le facteur g, l'intelligence générale.
Ses conclusions sont importantes pour 3 raisons: il met l'accent sur la nature unitaire de l'intelligence, il considère l'intelligence est en grande partie déterminée par l'hérédité et le mouvement américain a retenu principalement la conceptualisation de l'intelligence de Spearman, et non celui de Binet.
Afin d'examiner plus en profondeur la nature de l'intelligence, il pose les bases de l'analyse factorielle : «une technique statistique complexe fondée sur la corrélation. Elle consiste à mesurer d'abord divers aspects d'un individu ou d'un groupe d'individus, puis à corréler toutes les mesures entre elles pour déterminer lesquelles varient conjointement de façon systématique. On suppose que les valeurs qui varient en fonction l'une de l'autre mesurent la même chose. La dernière étape consiste à examiner la matrice des corrélations afin de déterminer quelles mesures varient conjointement et combien de facteurs (ou influences il faut présupposer pour rendre compte des corrélations observées. » (Hergenhahn, 302).
Pour Spearman, l'intelligence est postulée par deux facteurs:
1- les individus se distinguent par leurs capacités, qui sont des facteurs spécifiques (s en statistique)
2- Les mesures de ces facteurs tendent à être corrélées, donc l'intelligence déterminée exclusivement par l'hérédité détermine l'intelligence générale (g en statistique)
Ainsi, il élabore une théorie bifactorielle de l'intelligence: le facteur s décrit les habiletés spécifiques et le facteur g, l'intelligence générale.
Ses conclusions sont importantes pour 3 raisons: il met l'accent sur la nature unitaire de l'intelligence, il considère l'intelligence est en grande partie déterminée par l'hérédité et le mouvement américain a retenu principalement la conceptualisation de l'intelligence de Spearman, et non celui de Binet.
Toute l'information provient du livre de Hergenhahn, de la page 295 et des pages 302-303, du livre de Hunt, des pages 220-221 et des pages 237-238 et du site web de Word Press. *